De nombreuses études démontrent que les sujets porteurs sains sont parfois seropositifs au borrélia alors que des malades sont parfois négatifs.
Les médecins spécialisés sont nombreux à préconiser depuis longtemps l’analyse clinique plutôt qu’une sérologie. Mais la connaissance de la maladie de Lyme n’est pas assez universelle pour émettre des certitudes. La Haute Autorité de Santé a donc émis des recommandations mitigées mais prévoit une remise à niveau de ces recommandations au fur et à mesure des découvertes et certitudes acquises et au plus tard tous les deux ans.